La vision du président togolais Faure Gnassingbé visant à améliorer le système judiciaire du pays est mise en œuvre à travers diverses réformes. Ces réformes comprennent le recrutement de nouveaux magistrats et greffiers, ainsi que l’élaboration de nouveaux codes de procédure pénale et pénale.
Togo : le Chef de l’État envisage rendre le système judiciaire plus efficace
L’objectif principal des efforts et réformes engendrés par le président de la république, est de rendre le système judiciaire plus moderne et dynamique pour mieux répondre aux attentes de la population togolaise.
En effet, la nomination de Guy Mipamb Nahm-Tchougli à la tête du ministère de la justice est un élément clé de cette stratégie. En tant que juge à la cour constitutionnelle et professeur de droit à l’Université de Lomé, Nahm-Tchougli apporte une expérience et une expertise considérables dans le domaine judiciaire. Sa nomination, effectuée par décret présidentiel, démontre la volonté du gouvernement togolais de placer des professionnels qualifiés à des postes clés pour concrétiser cette vision de réforme.
En outre, le nouveau ministre de la justice aura pour mission de continuer le travail de ses prédécesseurs en améliorant l’efficacité et l’impartialité du système judiciaire vis-à-vis des citoyens togolais. Il devra donc s’atteler à résoudre les problèmes liés à la gestion des litiges fonciers, une question cruciale qui impacte le secteur. La célérité dans la résolution de ces litiges fonciers est soulignée comme une priorité, reconnaissant que cela représente un véritable défi pour le secteur judiciaire.
Par ailleurs, la nomination de Guy Mipamb Nahm-Tchougli à la tête du ministère de la justice illustre l’engagement continu du président Faure Gnassingbé envers la réforme judiciaire au Togo, avec l’objectif ultime d’offrir à la population un système judiciaire plus efficace, moderne et impartial.