Une visite de travail au Parc de Chinko, a permis à l’Ambassade de France à Bangui, de « constater l’organisation et les efforts déployés pour la préservation de la faune et de la flore » en Centrafrique.
L’occasion a permis à la délégation conduite par l’Ambassadeur Bruno Foucher, d’échanger « sur les défis et opportunités liés à la conservation de cet écosystème unique » dans le pays. Elle a aussi permis, d’identifier « les moyens d’accompagner ce projet ambitieux sur le long terme afin d’assurer sa pérennité » en Centrafrique, a indiqué l’Ambassade de France dans sa communication.
A l’issue des discussions, des mesures importantes sont prises. Ainsi, l’Ambassade décide, d’encourager « des solutions durables pour la gestion des ressources naturelles », et de favoriser « le développement des communautés locales en lien avec la conservation » au sein du Parc national de Chinko en Centrafrique.
A travers cette visite, l’Ambassade de France explique, qu’elle souligne « l’importance de préserver ces territoires uniques pour les générations futures » et salue explique-t-elle, « le travail des équipes engagées sur le terrain » dans le Parc de Chinko.
L’Ambassade France explique en outre, que le Parc de Chinco est « un espace d’une richesse exceptionnelle, mais qui a été fortement impacté entre 2012 et 2017 par le braconnage intensif et la transhumance non contrôlée » en Centrafrique. Cette situation, explique-t-elle, a entrainé « une diminution préoccupante de la faune, menaçant l’équilibre de cet écosystème unique » dans le pays.
Cette mission a été donc, indique la communication, « une occasion précieuse de renforcer la collaboration entre l’Ambassade de France et African Parks-RCA ». Elle permet aussi, «de renforcer son engagement aux cotés des acteurs locaux et internationaux » dans le domaine de la préservation de la faune et de la flore en Centrafrique.