Dans un verdict qui a surpris de nombreux observateurs, la Cour suprême de Guinée équatoriale a acquitté Baltasar Engonga, le directeur de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF), impliqué dans un scandale s3xuel ayant fait grand bruit.
Baltasar Engonga innocenté dans l’affaire des vidéos intimes en Guinée équatoriale
Placé en détention provisoire suite à la diffusion en ligne de plus de 400 vidéos à caractère intime le mettant en scène, Baltasar Engonga a bénéficié d’un non-lieu. Selon la décision de justice, les femmes apparaissant dans ces vidéos étaient consentantes et majeures. Par ailleurs, les examens médicaux n’ont révélé aucune transmission de maladies sexuellement transmissibles.
Cette décision judiciaire a relancé le débat sur la vie privée, le consentement et la diffusion de contenus à caractère s3xuel. Si l’acquittement de l’ex-directeur de l’ANIF met fin aux poursuites judiciaires à son encontre, il soulève de nouvelles questions sur la protection des données personnelles et les limites de la liberté d’expression dans un contexte numérique.
Après cette décision qui l’acquitte, Baltasar Engonga a annoncé son intention de porter plainte contre les personnes responsables de la diffusion des vidéos. Il estime que cette diffusion a porté gravement atteinte à sa vie privée et à sa réputation.