Après son coming-out qui a abouti plus tard à une rupture avec sa brésilienne, Brenda Biya fait de nouvelles révélations. Cette fois-ci, la fille du Président du Cameroun affirme être victime d’espionnage. Elle a raconté cette histoire à travers une vidéo partagée sur son compte Tik-Tok.
Brenda Biya persécutée par des voix étranges
Brenda Biya a bouleversé la toile il y a quelques semaines avec une révélation choquante sur son orientation sexuelle. La fille du Président du Cameroun a affirmé entretenir une relation sentimentale depuis longtemps avec une femme de nationalité brésilienne. Malheureusement, après avoir fait son coming-out, les jours qui ont suivi n’ont pas été bénéfiques pour celle qui se fait appeler King Nasty en tant que rappeuse. Les deux femmes ont mis un terme à leur liaison beaucoup critiquée au Cameroun.
La fille du couple présidentiel camerounais surprend de nouveau ses followers avec de nouvelles révélations. Elle a publié une vidéo sur son compte Tik-Tok où elle a raconté être victime de persécution par des voix mystérieuses. Depuis, l’influenceur est envahi par la peur. Selon les propos de Brenda Biya, elle entendait des voix provenant de la climatisation lui laissant croire que ce n’était que le fruit de son imagination. ‘’L’hôtel dans lequel j’étais hébergé m’espionnait. Je parle des voix audibles qui provenaient de la climatisation. Quand ç’a duré environ trois à quatre jours, j’ai cru que ça venait de ma tête. Quand j’ai entendu ces voix, je suis devenue suicidaire. Ce sont des conversations audibles à basse fréquence qui disent des choses négatives sur ma personnalité et ma famille… Ils ont dit que j’allais mourir’’, raconte-t-elle.
La chanteuse avance même que cela semble être comme un espionnage de la part de personnes. ‘’Je savais que des gens me poursuivaient parce que cela commençait à l’hôtel et se terminait à l’hôtel. Cela semble fou, mais j’ai commencé à répondre à ces voix. Ils ont commencé à me répondre. C’est à ce moment-là que j’ai confirmé que les voix ne venaient pas que de ma tête. Je savais qu’ils voulaient me faire chanter’’, affirme-t-elle.