Lassane Zohoré, premier responsable du journal Go Magazine, a reagi suite à l’agression de son journaliste, Aboké Guyzo, par la mère d’Arafat dj, Tina Glamour.
Le journaliste agressé n’en veut pas à Tina Glamour
La Côte d’Ivoire est en deuil. Le pays des Eléphants a perdu l’un de ses meilleurs ambassadeurs. Arafat dj est décédé le lundi 12 août dernier suite à un grave accident de moto qui s’est produit dans la commune de Cocody, au soir de la fête de Tabaski. Une mort qui affecte de nombreux fans d’Arafat, qui dépuis son décès, sont toujours présents sur le lieu du drame. Ce lundi 19 août, soit une semaine après ce drame, la mère du Dashikan, Logbo Valentine alias Tina Glamour, s’est rendue pour la seconde fois sur le lieu de l’accident où elle a créé un scandale. Elle s’en est même prise au journaliste Aboké Guyzo du journal « Go Magazine ». Après avoir saisi ce dernier au collet, elle lui a porté des coups avant que des spectateurs de la scène, n’interviennent .
Les commentaires et interpretations suite à cette agression ne se sont pas fait attendre. Zohoré Lassane, directieur général de « Go Media », la structure qui édite le journal auquel appartient le journaliste en question, a également reagi à travers un texte publié sur les réseaux sociaux.
Le message de Lassane Zohoré suite au scandale de Tina Glamour
Décidément, certains m’étonneront toujours sur Facebook. Un journaliste de mon organe de presse, de surcroît MEMBRE DE LA CELLULE COMMUNICATION DU COMITÉ D’ORGANISATION DES OBSÈQUES DE DJ Arafat se fait agresser par Tina Spencer comme l’atteste la vidéo qui circule en ce moment et des personnes trouvent le moyen de justifier l’injustifiable. Nous savons qu’elle traverse une période très difficile et c’est d’ailleurs pour cette raison que nous avons mis un peu de temps à communiquer sur cet incident. N’empêche, l’attitude de Tina Spencer est 1000 fois condamnable ! Elle n’est pas la seule à avoir mal et d’ailleurs, je doute qu’elle ait plus mal que les « Chinois », cette population qui a adopté Dj Arafat bien qu’elle soit sa génitrice. Elle qui n’a pas hésité à maudire son fils en public à plusieurs reprises.
Bref, qu’à cela ne tienne. Nous essayons de trouver un compromis à notre niveau afin de calmer le jeu et je remercie d’ailleurs à ce sujet toutes les personnes qui ont contribué à cela grâce à leurs commentaires à mon post.
En conclusion, la victime elle-même (le journaliste Aboké Guizo) avec qui j’ai échangé tout à l’heure a demandé de laisser tomber cette affaire pour ne pas en rajouter dans cette période douloureuse pour le pays tout entier.