Tina Glamour commence de plus en plus à ressentir le mal du pays après la mort tragique de son fils, l’année dernière. La maman de DJ Arafat envisage désormais de quitter la Côte d’Ivoire. Elle l’a avoué, mercredi, sur la chaîne de télévision La 3.
Tina Glamour: « Je ne dois pas rester là après cette tragédie »
12 août 2019, Ange Didier Houon alias DJ Arafat périt dans un grave accident de la circulation. Cette nouvelle a particulièrement bouleversé le monde du showbiz africain en général et la sphère du Couper-Décaler en particulier, qui perdait ainsi une étoile.
Logbo Valentine, plus connue sous le nom de Tina Glamour, la mère de l’artiste, est jusque-là inconsolable. N’empêche qu’elle ne manque pas de publier des vidéos sur les réseaux sociaux pour réagir à des accusations, ou clasher des personnes qu’elle pense être de connivence avec ses détracteurs.
L’affaire de l’une des voitures de Dahishikan mise en vente est vraisemblablement la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Après un clash avec Ali le Code, l’un des compagnons de longue date du boss de la Yôrôgang, Lady Glamour a été reçue, mercredi, à l’émission Peopl’Emik de la Nouvelle chaine ivoirienne (NCI).
Après avoir fustigé tous ceux qui tentent tant bien que mal de la déposséder de l’héritage laissé par son fils, l’auteur de la «Seximoulance » entend se mettre à l’abri de toutes ces railleries, dont elle se dit victime depuis près de dix mois.
« Je suis dans une peine pas possible, parce que jusqu’aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi mon fils est mort », a-t-elle avoué lors de cette émission, dont l’auditoire s’agrandit au fil des émissions.
Elle entend par ailleurs prendre exemple sur une autre mère qui a traversé la même situation qu’elle. « Nous sommes deux chanteuses ivoiriennes qui avons perdu nos enfants. Jonathan que mon fils chante là, c’est le fils d’une femme qu’on appelle Zita. Elle, elle n’a pas pu supporter, elle est partie se mettre en France. Je sais qu’elle était en France aux dernières nouvelles », a-t-elle révélé.
Avant d’arriver à cette conclusion : « Moi-même, je dois quitter la Côte d’Ivoire. Normalement, je ne dois pas rester là après cette tragédie. »