La visite d’Alassane Ouattara dans la région du Moronou est au cœur de la titrologie du samedi 12 septembre 2020. La revue de la presse ivoirienne accorde une place de choix à la prochaine élection présidentielle prévue pour le 31 octobre.
Titrologie, Alassane Ouattara dans la région du Moronou
Dans le cadre de sa visite dans la région du Moronou, entamée depuis le mercredi 9 septembre 2020, Alassane Ouattara a échangé avec les populations de M’batto. C’était le vendredi au cours d’un meeting. Le président ivoirien a demandé qu’on laisse les « Ivoiriens choisir librement celui à qui ils veulent confier la destinée de notre pays », a publié Fraternité Matin, dans sa parution du samedi.
À la Une du quotidien gouvernemental, nous notons qu’à l’occasion du 50e anniversaire de la célébration de la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Vatican, un timbre a été émis.
Le Jour Plus, revient sur les propos du chef de l’Etat qui s’adressait aux populations d’Arrah. « Faites confiance aux institutions », a recommandé le numéro un ivoirien. Dans sa titrologie, notre confrère fait remarquer que le dossier de Mamadou Koulibaly, candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, est « truffé d’irrégularités ».
Pour sa part, Le Patriote, indique que lors de la 3e étape de la visite d’Alassane Ouattara dans la région du Moronou, la ville de M’batto a fait fort. Le journal proche du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le parti au pouvoir, écrit que Dominique Ouattara a comblé les femmes de ladite ville. À deux mois de la présidentielle, Me Méité s’interroge dans les colonnes de notre confrère. « Et si la candidature de Bédié était rejetée », écrit le journal.
Dans sa parution du samedi 12 seotembre 2020, Le Nouveau Réveil, écrit : « avant les délibérations du 16 septembre, un coup contre Bédié ? ». Selon Me Suy, « l’éligibilité » du candidat du PDCI (Parti démocratique de Côte d’Ivoire) « est irréprochable ». « La candidature de Ouattara fait courir des risques à la Côte d’Ivoire », a confié Stéphane Kipré à Le Quotidien d’Abidjan.