Stéphane Kipré, président de l’ Union des nouvelles générations (UNG), a convoqué, samedi 31 juillet 2021, la tenue d’un deuxième congrès ordinaire de son parti, pour les 19, 20 et 21 novembre prochain, à la fondation Félix Houphouët-Boigny à Yamoussoukro.
L’ UNG de Stéphane Kipré en conclave les 19, 20 et 21 novembre prochain
En Côte d’Ivoire, le deuxième congrès ordinaire de l’ Union des nouvelles générations (UNG), se tiendra les 19, 20 et 21 novembre prochain, à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne. C’est Stéphane Kipré, le président du parti, rentré d’exil le 29 mai dernier, qui a donné l’information samedi 31 juillet, lors du secrétariat général extraordinaire élargi aux délégués, doublé de la célébration des 14 ans du parti.
« C’est pourquoi, solennellement, en vertu des prérogatives qui me sont conférées par les statuts et règlements intérieurs de l’Union des Nouvelles Générations (UNG), je voudrais convoquer le 2e congrès ordinaire de l’Union des Nouvelles Générations (UNG), qui se tiendra les 19, 20 et 21 novembre 2021 à la Fondation Félix Houphouët Boigny de Yamoussoukro sous un thème qui devra essentiellement tourner autour de nos perspectives pour les années à venir », a déclaré Stéphane Kipré.
Le président de l’UNG précise qu’il s’agira pour la formation politique née en 2007, de d’abord faire le bilan de ses 14 années d’existence, ensuite débattre des perspectives de l’ UNG, pour les années à venir.
« Le moment est aussi venu de faire le bilan de nos alliances. Depuis le CNRD jusqu’à EDS en passant par l’AFD et la CNC. Il nous faut sans concession tirer les leçons de nos alliances passées et actuelles (…) Nous devons sans complaisance nous regarder en face et nous parler. C’est ainsi que nous avons toujours fonctionné et nous allons continuer ainsi « , a-t-il indiqué.
Au nombre des défis à relever, faire de l’ UNG un puissant outil de développement local au profit des populations. Stéphane Kipré a par conséquent, annoncé que le parti présentera des candidatures aux prochaines élections municipales et régionales pour donner un aperçu « de notre capacité à influer directement sur le développement de notre pays ».
» Il vous appartient chers délégués, dans vos zones respectives d’aller chercher toutes ces personnes qui se méfient de la politique politicienne, mais qui souhaitent s’impliquer activement dans le développement de leurs localités respectives. C’est sur vous que je compte pour accomplir cette mission », a-t-il ajouté.
« Nous avons le devoir d’ouvrir nos bras à tous ces Ivoiriens qui veulent être des acteurs de développement. Nous nous devons d’être le parti du développement. C’est ainsi que nous réussirons à nous démarquer positivement. Nous avons les idées ! Il est temps de les soumettre directement à nos populations », a poursuivi l’ancien exilé politique.
Précisant que le second défi à relever sera celui de la structuration de notre parti. « Nous nous devons de construire des organes forts et dynamiques. Notre machine politique s’agrandit chaque jour un peu plus. Il nous faut être capable d’accueillir et d’intégrer tous ceux qui frappent à la porte de l’Union des Nouvelles Générations », a-t-il confié.