Nous annoncions jeudi soir qu’une femme veuve répondant au nom de Ziké Wianko Gisèle, qui avait été dépouillée de tous ses biens après le décès de son mari (?), a été l’objet de bienveillance de la part du révérend pasteur Camille Makosso. Quelques heures seulement après, le beau-père de cette dernière est apparu sur les réseaux sociaux pour rétablir toute la vérité autour de l’affaire.
De graves accusations d’infidélité portées contre la veuve Ziké Wianko Gisèle
A peine son mari décèdé, qu’une femme veuve s’est vue dépouillée de tous les biens par sa belle famille pendant que le corps du defunt mari, se trouve encore à la morgue. Alors que Hassan Hayek et le pasteur Camille Makosso décidèrent de remplacer les appareils électroménagers…et de lui apporter bien d’autres soutiens, des commentaires ont poussé à voir de près cette histoire. C’est ainsi qu’une télé culturelle en ligne est allée à la rencontre du père du défunt, M. Yao.
D’après les explications du beau-père de dame Ziké Wianko Gisèle, l’ex-épouse et son fils auraient divorcé neuf mois plus tôt suite à des actes d’infidélité de la femme. Un document présenté comme l’acte de divorce a même été co-signé par les époux qui ne partageaient plus le domicile conjugal. Mme Ziké ayant fait ses bagages pour quitter son mari qui l’accusait d’infidélité.
« Je n’ai aucun problème avec la femme”, indique le beau-père. Et d’expliquer les circonstances du décès de son fils suivi plus tard de la vidéo choquante montrant le domicile conjugal du couple, vidé de ses biens sous le regard pantois des enfants mineurs du couple.
“Le 05 septembre dernier, mon fils m’a appelé, il dit papa j’ai attrapé ma femme avec un homme, je n’ai rien dit par amour. Une deuxième fois encore je l’ai attrapé, je l’ai est suivie, j’ai pris un gros caillou pour lapider le monsieur, je l’ai frappé copieusement comme c’était pas permis. Après cela quand ma femme est revenue à la maison, elle a ramassée toutes ses affaires, même celle que mon fils avait payer pour elle et est partie”, confie le père.
“Je suis allé au village le 11 septembre, le 12 c’était un dimanche, le 13 on m’appelle pour me dire mon fils est décédé”, poursuit-il. Alors je lui ai dit que mon fils étant mort et n’ayant pas de moyens pour payer le loyer car je devais l’enterrer, il fallait qu’elle quitte la maison que je ne pouvais plus payer le loyer. Elle m’avait dit qu’elle avait compris… c’est hier que je suis allé ramasser les bagages de mon fils”, a soutenu le sexagenaire.