L’Union européenne (UE) a décidé de renforcer sa politique de sanctions en ciblant à la fois la Biélorussie et la Chine. Ces mesures, adoptées par les États membres, visent à répondre aux violations des droits de l’homme et aux pratiques commerciales déloyales de ces deux pays.
L’Union européenne frappe fort : de nouvelles sanctions contre la Biélorussie et la Chine
Les sanctions contre la Biélorussie visent principalement des magistrats accusés d’avoir participé à la répression de l’opposition et à la violation de l’État de droit. Ces individus se voient interdire de voyager dans l’UE et leurs avoirs éventuels dans l’Union européenne sont gelés.
Ces mesures s’inscrivent dans le contexte de la répression exercée par le régime de Loukachenko depuis les élections présidentielles contestées de 2020.
La Chine également concernée
L’UE a également décidé de sanctionner certaines entités chinoises impliquées dans des pratiques commerciales déloyales et des violations des droits de l’homme. Les secteurs concernés par ces sanctions n’ont pas encore été précisés, mais elles pourraient viser des entreprises actives dans les domaines des technologies de surveillance ou du travail forcé.
En adoptant ces nouvelles sanctions, l’Union européenne envoie un signal fort à la communauté internationale. Ces mesures visent à encourager les pays concernés à respecter les normes internationales et à améliorer leur gouvernance.