Au Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré porte l’espoir d’un développement durable et d’une meilleure qualité de vie pour sa population. Son engagement et sa détermination à transformer le quotidien des burkinabés en fait le nouveau Thomas Sankara… Une analyse de Yanis Dama
Le Capitaine Ibrahim Traoré, une seconde chance pour le Burkina Faso ?
Dès son accession au pouvoir, le Capitaine Ibrahim Traoré s’est animé d’un amour profond pour son pays. En tant que Sankariste pur sang, il imprègne sa gouvernance de valeurs telles que l’intégrité, la justice sociale et la solidarité. Sa sincérité et son désintéressement à l’égard des biens matériels, contrairement à bon nombre de dirigeants africains, démontrent sa volonté de servir loyalement son peuple.
Un des aspects remarquables de sa politique est sa volonté de promouvoir l’autosuffisance alimentaire. En investissant massivement dans l’agriculture et en équipant les agriculteurs de matériels industriels modernes, le Capitaine Ibrahim Traoré s’attelle à faire prospérer le secteur agricole, moteur essentiel de l’économie burkinabé.
À terme, cette démarche devrait permettre de réduire le coût de la vie en abondant le marché en produits locaux, ce qui va renforcer la sécurité alimentaire de la nation en entraînant une baisse importante des denrées alimentaires sur les marchés locaux.
L’impact des partenariats stratégiques avec la Chine et la Russie
De plus, sa politique de redistribution des revenus en diminuant les salaires des cadres au profit des salariés les plus modestes vise à réduire les inégalités sociales. Cette mesure contribue à un rééquilibrage nécessaire entre les différentes classes de la société, ce qui favorisera un peu plus la cohésion sociale et un partage plus équitable des richesses du pays.
La lutte contre la corruption a clairement été érigée en priorité par le Capitaine Ibrahim Traoré. En instaurant des mécanismes de dénonciation de la fraude et en exerçant une pression constante sur les dirigeants d’entreprises publiques, il entend assainir le climat des affaires et préserver les ressources du pays.
La coopération stratégique avec la Chine et la Russie dans le domaine militaire prouve sa ferme volonté de combattre efficacement la menace terroriste qui sévit dans la région.
Notons que les terroristes qui traumatisent les populations sahéliennes ne sont que des désœuvrés sans formation militaire pour la plupart au contraire des hommes armés de ces pays, qui sont de véritables techniciens. La différence se faisait jusqu’ici par le fait que les terroristes étaient surarmés au contraire des militaires. Maintenant que le capitaine Traoré, comme son voisin Assimi Goïta, a décidé de croiser le fer avec les terroristes, la tendance s’est inversée sur le terrain grâce aux nombreuses acquisitions d’armes.
Dans un passé récent, les militaires burkinabés n’osaient même pas s’aventurer dans certaines contrées du pays de peur de périr. De plus en plus, ce sont les terroristes qui cherchent le chemin de l’exil à cause de la nouvelle puissance de feu de l’armée burkinabé, qui les chasse sans répit.
Même si les opposants d’Ibrahim Traoré affichent parfois une insatisfaction alors qu’ils n’ont pas fait mieux lorsqu’ils étaient aux affaires, la vérité est qu’une grande partie des populations reviennent de plus en plus dans leurs villages désertés sous la menace des terroristes.
La libération des burkinabés, le combat d’Ibrahim Traoré
Le Capitaine Ibrahim Traoré incarne pour beaucoup un véritable espoir pour le Burkina Faso. qui a grand intérêt à veiller sur son intégrité physique, car même s’il n’est pas Thomas Sankara, il a au moins le mérite de travailler à la réussite des bonnes idées de celui-ci.
En occident et en Asie, les peuples vivent mieux lorsqu’ils produisent abondamment ce qu’ils consomment. En réglant la question alimentaire, IT commence par là où devrait commencer tout dirigeant intéressé par le bien de son peuple.
Félix Houphouët-Boigny disait : « Un homme qui a faim n’est pas un homme libre.» Travailler à ce que les Burkinabés aient moins faim est donc le premier acte de leur liberté sur laquelle le gouvernement devrait capitaliser pour développer efficacement la santé, l’éducation ou encore l’économie du pays.
Ibrahim Traoré réactive chez l’homme burkinabé sons sens de l’intégrité. S’il ne change lui-même pas et continue de rester intègre, le pays de l’homme intègre n’aura bientôt jamais aussi bien porté son surnom. Pour cela, le capitaine devra rester à bonne distance des présidents affairistes qui amassent des milliers qu’ils ne pourront jamais dépenser avant leur mort au détriment de leurs peuples. Ses compatriotes lui maintiendront leur confiance tant qu’il gardera son salaire de capitaine et un train de vie modeste.