Roseline Layo a survolé le Casino de Paris le samedi 4 mai lors de son premier concert-live. Le public ivoirien et africain a répondu nombreux à l’appel de la chanteuse ivoirienne qui a offert un spectacle époustouflant.
Roseline Layo à l’assaut de l’Europe et de l’Amérique après son concert réussit au Casino de Paris
La chanteuse ivoirienne, Roseline Layo a mis à ses pieds la mythique salle de spectacle du Casino de Paris le samedi 4 mai à partir de 20h lors de son tout premier concert-live. Après une communication bien orchestrée autour de cet événement, le public a fait nombreux le déplacement. Pour une capacité d’accueil d’environ 2057 places, l’interprète de la chanson à succès ‘’Donnez-nous un peu’’, a réussi à jouer à guichet fermé et devant même plus que le nombre de places initiales. La preuve est vraiment palpable avec les différentes images et vidéos qui sont publiées sur les réseaux sociaux.
La jeune femme qui a démarré sa carrière musicale dans les piano-bars et un orchestre comme Bella Mundo, a réussi son pari de faire salle comble dans l’une des prestigieuses salle de spectacle de Paris. Roseline Layo a revisité tous ses gros succès comme ‘’Môgô Fariman’’, ‘’Amour Kôyô-Kôyô’’, ‘’Elotognan’’, ‘’Loulou’’ et bien d’autres au grand plaisir des nombreux spectateurs qui reprenaient en choeur toutes les chansons de l’album ‘’Elus de Dieu’’.
Cette grosse performance est la deuxième fois pour une chanteuse ivoirienne après celle de Morijah au Casino de Paris va conduire la femme de David Gnanhou alias Chewe a entamé dès cette semaine durant tout le mois de mai une grande tournée européenne qui va l’amener dans d’autres villes de France, en Suisse (Génève), au Luxembourg et en Allemagne (Munich). Ensuite, au mois de juillet en Italie (Parme) et en Allemagne (Fulda). Puis, un détour pour la première fois aux Etats-Unis au mois de juin prochain à Harlem à New York. Les ivoiriens et les autres communautés africaines vont venir nombreux à coup sûr pour écouter les bonnes vibrations de Roseline Layo au pays de l’Oncle Sam.
