Le mari de Charlotte Dipanda Fernand Lopez avait affirmé avoir giflé son ex-femme en réponse à une agression physique envers leur enfant. Cette dernière a fait une sortie médiatique pour rejeter catégoriquement les déclarations mensongères de son ancien compagnon. Elle précise avoir été violemment frappée à plusieurs reprises jusqu’à perdre connaissance à deux reprises.
L’ex-femme de Fernand Lopez rétablit la vérité sur les violences conjugales
Après sa fulgurante victoire contre Jordan Zebo au PFL Paris le week-end dernier, le combattant camerounais, Cédric Doumbé avait porté un coup dur sur son ancien manager, Fernand Lopez. A la fin du combat, il avait accusé dans la cage le mari de la chanteuse camerounaise Charlotte Dipanda de violences conjugales envers son ex-femme, la nutritionniste, Cécile Giornelli.
« Vous savez très bien qui a pris ce KO, ce n’est pas Jordan. Celui qui a pris ce KO c’est celui qui frappait son ex-femme. Ce sont les violences faites aux femmes que je mets KO, c’est celui qui frappait sa femme quand j’étais dans sa salle. Voilà la raison pour laquelle j’ai quitté cette salle. C’est quelque chose que j’ai vécu au téléphone en live. J’ai appelé la police et la police est intervenue », avait-il lancé.
Très rapidement, Fernand Lopez a réagi aux accusations de son ancien poulain dans le média Le Parisien. Il a par la suite indiqué qu’il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis. « Mon geste est inexcusable. Un être humain, un homme ne lève pas sa main sur une femme. Un jour, j’ai commis ce geste. Le geste que je regrette le plus de toute ma vie », a-t-il confié.
Son ex-femme, Cécile Giornelli, qui a eu écho de sa version des faits a été très remontée. C’est sur son compte Instagram qu’elle est venue rétablir la vérité et charger son ancien conjoint.
« Je reste muette et tranquille depuis toutes ces années, force est de constater qu’on me salisse encore et qu’on m’invente encore une vie (…) On ne prend pas quatre mois pour une gifle. Tout n’est que mensonges, victimisation, retournement de situation, manipulation des masses et utilisation de sa force de frappe médiatique que je n’ai jamais eue et n’aurai jamais. Il le sait et en joue’’, écrit-elle. Puis de préciser : « À l’époque, je me pensais folle tellement mon cerveau avait été retourné. Et j’en ai juste assez ! Ces agissements en toute impunité doivent cesser. Que ce soit clair : je ne veux pas étaler ma vie privée en public. Mais la victime, c’est moi plus ma fille qui a tout vu. Et je refuse qu’on me fasse passer pour une femme violente et que la situation aurait ‘dérapée’. C’est faux. Quand je perds connaissance, et à deux reprises, ce sont les pleurs de ma fille qui me ‘réveillent’. Donc non, ce n’était pas une gifle, non, nous n’étions pas un couple violent. »