Le train de vie de nombreuses influenceuses africaines et surtout ivoiriennes, est une vraie problématique pour Yvidero. Dans l’une de ses émissions Yvidero’Show, la Web-comédienne s’est interrogée sur la vraie source de revenus de ces influenceuses.
Yvidero : ‘’Nous avons tous des défauts, il faut au moins qu’on soit sincère avec ces personnes qui nous donnent leur confiance et qui nous suivent’’
Des influenceuses africaines et particulièrement celles de Côte d’Ivoire, étalent sur les réseaux sociaux leur train de vie.
Voyage en première classe, shopping dans les grandes boutiques, boissons de marque, achat de grosses cylindrées, etc. Nombreux sont des internautes qui prennent comme modèles ces influenceuses.
Il y a par exemple Coco Emilia, Nathalie Koah (Cameroun), Emma Lohoues, Carmen Sama, Eudoxie Yao, Emmanuelle Kéïta (Côte d’Ivoire).
Le citoyen lambda veut avoir une vie de luxe comme ces influenceuses qui ne lésinent sur aucun moyen pour se faire plaisir.
Cependant, si pour certaines d’entre elles, on sait d’où proviennent leurs revenus, pour d’autres, c’est un vrai parcours de combattant pour trouver une véritable réponse.
Dans l’une de ses émissions Yvidero’Show, sur NCI, la question a fait l’objet d’un débat sur le plateau avec Yvidero, ses chroniqueurs et ses invités.
La présentatrice n’a pas fait exception à la règle la concernant. Yvidero, dans la posture de porte-voix des influenceuses, a fait savoir qu’il est important de donner de bons exemples à la jeunesse africaine et surtout ivoirienne.
‘’Les personnages publics que nous sommes, devons donner la véritable source de nos revenus à la jeunesse et aux personnes qui nous suivent’’, dit-elle.
La Web-comédienne s’est également interrogée. ‘’Aujourd’hui, tout le monde a accès à Internet. Vous partez acheter des sacs qui coûtent plus de 20 mille euros. Certaines en ont même des centaines. Vous montrez aux enfants et vous ne leur dites pas comment vous avez fait pour acheter?’’, se demande-t-elle.
‘’Nous avons tous des défauts, il faut au moins qu’on soit sincère avec ces personnes qui nous donnent leur confiance et qui nous suivent. Vous ne pouvez pas vous lever et aller signer un contrat avec des gens et acheter des véhicules qui coûtent excessivement chers. Les jeunes peuvent s’endetter pour faire comme nous’’, s’inquiète-t-elle.