La chanteuse franco-malienne, Aya Nakamura, connaît un succès phénoménal dans la musique. Un succès qui lui donne des sensations toutes particulières. Ce qu’elle a dit.
Aya Nakamura: »Les gens, quand ils me voient, j’ai l’impression qu’on n’a pas les mêmes organes »
Aya Nakamura est une chanteuse française d’origine malienne. Elle est née à Bamako et est aujourd’hui âgée de 27 ans. Elle fait partie du cercle très restreint des artistes féminines pratiquant une musique dite « urbaine », à rencontrer un incroyable succès.
Après des débuts remarqués sur les réseaux sociaux et de nombreuses collaborations, elle fait une percée dès la sortie de son premier album intitulé »Journal intime », en 2017, qui est certifié disque de platine après un peu plus de deux ans.
En 2018, elle publie son deuxième album Nakamura qui lui permet de se faire connaître du grand public, propulsée par le single Djadja. Cet album est certifié disque de diamant, avec des ventes atteignant plus de 550 000 unités en France et plus de 1,2 million d’exemplaires vendus dans le monde.
En 2020, elle est l’artiste francophone féminine la plus écoutée sur Spotify avec 20 millions d’auditeurs mensuels. Elle sort la même année son troisième album, Aya. Cet album est certifié disque de platine après s’être vendu à 100 000 exemplaires moins de trois mois après sa sortie.
Ce succès phénoménal de la belle Aya Nakamura lui donne souvent l’impression de ne pas être un être humain. C’est en tout cas ce qu’elle soutient dans des propos relayés par First Mag.
« Des fois, j’ai l’impression que je ne suis pas humaine. Les gens, quand ils me voient, j’ai l’impression qu’on n’a pas les mêmes organes… Des fois, quand on te met tout le temps sur un piédestal peu importent les circonstances, ça met beaucoup de distance et ça deshumanise », a-t-elle indiqué.