L’année 2022 a été particulièrement chargée pour le bio-médecin chercheur ivoirien, Dr Diamana de Jésus. Nommé en qualité d’Ambassadeur ATB (AFRICAN TOURISM BOARD OU CONSEIL AFRICAIN DU TOURISME) pour le compte de l’Afrique de l’Ouest pour la promotion du tourisme africain, l’inventeur du sirop BJ 12, solution contre la Covid-19, a également été fait docteur honoris causa par l’université internationale américaine Cypress Institut of Texas.
Fêtes de fin d’année – Dr Diamana, Bio-médecin: « Voici comment éviter les maladies »
En cette fin d’année 2022, le bio-médecin chercheur donne des conseils utiles pour préserver sa santé. Il ne manque pas de formuler ses vœux de nouvel an pour la Côte d’Ivoire.
Comment vous considérez-vous par rapport aux autres chercheurs ?
je suis Dr Diamana, biomédicin chercheur. DG du groupe Diamana et inventeur du sirop BJ12 qui prévient et guérit le covid 19. Je suis un chercheur qui trouve et mes résultats l’attestent. Du diabète, à l’hypertension en passant par la prostate, le covid, la stérilité pour ne citer que ceux-là.
D’où tenez-vous cette certitude ?
Je ne suis pas dans le subjectif. Je ne suis pas en train de prêcher pour que des gens croient en moi. Je suis dans le domaine de la science où la seule mesure, ce sont les résultats concrets. La médecine réside sur la guérison du sujet malade. Je suis dans la science. Mes résultats sont là et parlent en ma faveur. Quand le Covid est arrivé, j’ai mis en place un protocole de guérison et de prévention, le BJ 12, qui a fait ses preuves. J’adresse des courriers au ministère de la Santé pour faire savoir que j’ai trouvé la solution au Covid-19, mais sans suite. Aujourd’hui, je ne suis plus au stade de la spéculation. Ce que j’attends, ce sont les moyens pour continuer mes recherches et mettre les résultats à la disposition de l’humanité. Ce que je regrette, c’est le complexe d’infériorité de l’homme noir. Le combat à mener, c’est contre la psychologie des Noirs, ce complexe raciale qui fait qu’on considère plus les dires d’un Blanc que ceux d’un Noir. Dois-je dire que j’ai eu le malheur de naître en Afrique ? Il y a une organisation mafieuse et démoniaque qui existe autour de la médecine. Les propriétaires des industries pharmaceutiques préfèrent pérenniser les traitements à vie au détriment du bien-être de la race humaine. L’Afrique a les moyens pour soigner ses enfants, ce qui manque, c’est la volonté politique.
Comment êtes-vous arrivé à la biomédecine ?
J’ai exercé ici dans ce pays, d’abord en qualité de conseiller en communication auprès de différentes personnalités de la place. Mon dernier poste m’a emmené auprès d’une personnalité dont je préfère taire le nom. Et à un moment donné, j’ai démissionné parce que j’ai trouvé que les activités n’étaient pas conformes à mes convictions. C’est de là qu’est venu le désir d’apporter un plus à l’humanité. Je me suis engagé dans des recherches scientifiques. J’ai trouvé inconcevable qu’une maladie comme le VIH soit déclarée incurable. Comment je suis arrivé à là, c’est le désir de montrer que là où s’arrête la main des hommes, commence celle de Dieu. Je suis d’abord serviteur de Dieu, prédicateur. Je suis venu dans la sphère pour montrer la grandeur de Jésus Christ.
Pouvez-vous revenir sur votre récente distinction en qualité de docteur honoris causa ?
D’abord, mes travaux ont été suivis sur plus de 7 ans par une université américaine. Vous savez, quel que soit ce qu’on dira des occidentaux, ils ont une approche concrète des choses. Ils ont suivi mes travaux et ils ont compris qu’au delà des études universitaires, si la médecine a pour socle le patient, des gens sont guéris sur la base de mes travaux de recherche. C’est ce qui les a attirés. Ils sont venus à l’université Félix Houphouët-Boigny, ils ont organisé une cérémonie et ils m’ont décerné le titre de docteur honoris causa au vu de mes résultats. C’est une satisfaction morale et scientifique pour moi. Lorsqu’on n’a pas d’oreilles attentives et qu’on reçoit de telles distinctions, c’est le début de l’espérance, c’est une porte qui s’ouvre.
Est-ce que vous vous attendez à une reconnaissance de l’État de Côte d’Ivoire ?
Bien sûr. Je vous dirais même de demander à l’Etat de le faire le plus tôt pour éviter des hommages à titre posthume. On a vu les obsèques grandioses de DJ Arafat, mais il faut que l’Afrique arrête d’être funèbre. Pourquoi vous ne voulez pas que je m’attende à une reconnaissance de l’État de Côte d’Ivoire ? Je souhaite même que dès que cette interview est publiée, que le président de la République m’appelle pour une reconnaissance. Il faut qu’on arrive à promouvoir une jeunesse qui excelle grâce à ses résultats. Il faut encourager les entrepreneurs ivoiriens. Ne pas encourager des hommes comme docteur Diamana qui travaille dans l’intérêt général, les jeunes iront toujours mourir dans la Méditerranée, croyant que l’eldorado se trouve chez les Blancs. Oui, je m’attends à une reconnaissance de l’État de Côte d’Ivoire. Je le souhaite ardemment. N’est-ce pas moi qui ai traité et guéri Goudé de Magic Systèm ?
Quels sont vos conseils aux Ivoiriens en ces temps de fêtes de fin d’année, pour éviter de tomber malades ?
Je le dis très souvent. La santé de l’homme se trouve dans son assiette. Vous voyez, les maladies du métabolisme, telles que le diabète et l’hypertension, viennent de la mauvaise alimentation. S’il faut prendre son argent, le fruit de son travail, pour aller payer la maladie, je suis désolé. Je dis aux Ivoiriens et aux Africains, pendant et après cette fête là, il ne faut pas abuser du gras. Et l’alcool, ça détruit l’organisme. Il faut savoir manger. Évitez de boire en mangeant. Évitez de manger après 21 heures. Évitez l’abus de l’alcool. Évitez de vous coucher après avoir mangé pour faciliter une meilleure circulation du sang dans l’organisme. Marchez 10 à 15 minutes. Évitez de boire de l’eau glacée à table. La fête n’est que passagère. Il faut adopter une hygiène de repas convenable. Et je pense que nous irons mieux pour que la Côte d’Ivoire aille mieux aussi.
Quels sont vos voeux de nouvel an pour la Côte d’Ivoire ?
D’abord, que l’État de Côte d’Ivoire puisse m’aider pour que je continue de soigner les populations. Ensuite, que les politiciens désarment leur coeur. Tout le monde a beaucoup à gagner dans cette nation. L’environnement qui sied pour que les chercheurs puissent travailler, les enfants puissent aller à l’école, c’est l’absence de guerre. Mais je voudrais dire à nos dirigeants que la meilleure façon d’éduquer nos populations, c’est de créer une race d’hommes qui ont réussi par l’entrepreneuriat. Parce qu’aujourd’hui, la donne en Côte d’Ivoire, tous les Ivoiriens sont tournés vers la politique comme étant la panacée pour réussir. C’est une mauvaise leçon qu’ils donnent à la jeunesse. Il faut qu’on arrive à se départir de cette conception pour que l’État appuie les entrepreneurs nationaux à équidistance des partis politiques, et qui vont donner l’exemple aux autres. Notre jeunesse doit être depolitisée. Il est mieux d’appuyer les entrepreneurs locaux afin de créer un modèle vrai qui puisse servir de modèle à la jeunesse. Mon voeu, c’est que le premier citoyen de ce pays, le président de la République, Alassane Ouattara, soit en bonne santé. Que tous les membres du gouvernement, soient en bonne santé et qu’ils soient bien inspirés par Dieu. Que la population sorte des carcans tribalistes et que le patriotisme soit vrai. Voyons l’intérêt de la nation. Sachons préserver la nation et que les luttes pour le pouvoir, soient saines afin qu’il n’y ait pas d’entraves à l’avancée de cette nation. La paix est primordiale pour notre nation.