Gnamou Angoran Brice Pierre, Préfet du département de Kouto, a salué les actions sociales menées par l’un des cadres de la localité, Yamoussa Coulibaly, PDG de Chim-inter. C’était, lundi 10 octobre 2022, lors du lancement des travaux de réhabilitation de la boucherie de la ville.
Réhabilitation de la boucherie de Kouto : Le Préfet remercie Yamoussa Coulibaly d’avoir répondu favorablement à sa solicitation
« Je n’ai pas le temps de faire la politique. Je cours à travers le monde pour contribuer au développement de mon pays. Opérateur économique, je prends 40 à 50 % de mon temps pour me battre pour le développement de mon pays. Il s’agit d’une entreprise citoyenne », a déclaré Yamoussa Coulibaly.
Pour le patron de Challenge Immobilier International, toutes ses actions sociales émanent de sa ferme volonté d’accompagner l’État dans son plan de développement du pays.
« L’État ne peut pas tout faire. En tant qu’entrepreneur, nous devons accompagner le président de la République dans sa vision d’une Côte d’Ivoire nouvelle, avec des acteurs engagés pour le développement du pays (…) Nous travaillons avec les autorités étatiques, les mairies, les conseils régionaux et les districts autonomes. Nous multiplions nos activités parce que nous aimons notre pays. C’est notre patriotisme qui nous pousse à investir et à aider notre pays », insisté Yamoussa Coulibaly.
Les travaux de réhabilitation de la boucherie de Kouto ont été lancés, lundi 10 octobre 2022, par Gnamou Angoran Brice Pierre. « Je voudrais, au nom des populations de Kouto, dire merci à Yamoussa Coulibaly, le PDG de Chim-inter pour ses initiatives à leur endroit. Quand on l’a sollicité pour les travaux de réhabilitation de notre boucherie en état de dégradation, il n’a pas hésité à nous aider », a-t-il témoigné.
Selon le Préfet du département, cet accompagnement de Challenge Immobilier International (Chim-inter), revêt non seulement un caractère social mais est aussi un élément catalyseur du progrès. « C’est un acte social qu’il pose mais c’est également un acte de développement. Ensemble, nous le remercions. Cela doit encourager d’autres bonnes volontés à répondre à nos appels », a confié le représentant du président de la République.
Puis d’ajouter : « La viande est une denrée très sensible. Elle doit se commercialiser dans des conditions d’hygiène parfaite. Les nuits, ce sont les chats, les chiens, les souris et les cafards qui prennent d’assaut le reste des viandes sur les étagères parce que notre boucherie n’avait pas de portes ni de fenêtres. Quand les conditions de vente et d’hygiène ne sont pas réunies, les populations peuvent être victimes d’une maladie. En ma qualité de premier responsable du département, il fallait que je prenne cette décision pour que les choses changent et pour protéger mes administrés », a-t-il précisé.