Bleu Brigitte est de nouveau au centre d’une polémique. La mère d’Apoutchou National est soupçonnée par des internautes de vouloir ravir le succès de Jonathan Morrison, le promoteur du Tournoi CAM Tchin Tchin. Que se passe-t-il en réalité ?
Bleu Brigitte : « Je suis une maman opportuniste ? »
Tout est parti d’une publication sur Facebook de Bleu Brigitte dans laquelle la comédienne ivoirienne met en lumière son fils Agbré Stéphane dit Apoutchou National et Jonathan Morrison. « Les deux meilleurs influenceurs de l’année. Ce n’est pas un débat. Ils ont été critiqués humiliés, mais DIEU est dans leurs affaires. Je vous aime mes bb. Que Dieu soit au contrôle de votre vie à chaque instant », a écrit la réalisatrice.
Ces propos ont attiré l’attention d’internautes qui sont convaincus que la maman d’AP Le Guide cherche à tirer profit du succès et de la renommée de l’ancien copain de Maria Mobil. Bleu Brigitte a refusé de garder le silence sur cette affaire.
« Que quoi ? Je suis une maman opportuniste ? Comme l’étoile du petit Morisson brille là voilà elle se colle à lui. Elle et son fils sont comme ça , c’est pour voler étoile des gens huuumm on peut être nul comme ça ? Quand je dormais dans les églises avec mon fils, je veillais jour et nuit pour travailler pour l’envoyer en Europe par avion avec un visa, j’ai été humilié au milieu de mes Amis, car je n’avais pas de bon vêtement à me mettre, en ce moment-là je ne volais pas étoile hein ? », a cherché à savoir l’actrice ivoirienne.
En outre, elle est revenue sur les débuts de son fils en tant qu’influenceur. « Vous avez vu comment mon fils a commencé, sur la toile, quelle HUMILIATION et MOQUERIE il n’a pas essuyé ? Mais comme sa mère il n’a jamais baissé les bras. On a lutté en travaillant dur avec mon Époux pour avoir une place au soleil Bim on vole étoile. Volez étoile aussi pour être au niveau où je suis. Mes adorables le seul secret de la réussite c’est travailler dur et ne jamais baisser les bras quelque soit l’obstacle qui est devant vous Foncez », a-t-elle ajouté.
