DJ Lewis est accusé de battre sa femme. Le chanteur vient rétablir la vérité dans une vidéo enrégistrée aux cotés de son épouse Djenny et de leurs enfants.
DJ Lewis aux Ivoiriens: « Ne venez pas me faire passer pour ce que je ne suis pas aujourd’hui »
Dans une vidéo publiée le 11 février 2022, DJ Lewis se prononce sur les rumeurs qui touchent son couple. Le discours jockey est accusé de battre sa femme. Il a tenu à éclairer l’opinion publique.
L’artiste a reconnu qu’à une certaine époque, il a eu à être violent envers sa femme certes, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui.
« Hier on m’a présenté comme quelqu’un de méchant, de monstrueux. Ne venez pas me faire passer pour ce que je ne suis pas aujourd’hui. Cette histoire s’est produite lorsqu’on était copain et copine il y a longtemps de cela. Dans tous les couples, il y a des hauts et des bas. (…) Aujourd’hui je suis quatre fois plus mature », s’est-il adressé à ses détracteurs, notamment Juste Crépin Gondo, le lanceur d’alerte, à l’origine du buzz qui a soufflé sur la blogosphère ivoirienne, la veille.
Devenue virale, la vidéo du blogueur ivoirien Juste Crépin a suscité de vives réactions, telles la foudre qui s’abat sur l’auteur des chansons à succès ‘’Grippe aviaire’’ et « Apoutchou ». Notamment les cyberactivistes et simples internautes qui ont marqué leur indignation.
Pourtant, informe un journaliste membre d’un réseau de lutte contre les violences faites aux femmes, il n’en est rien. « Faux. Il est 00h53 (ce jeudi nuit). On vient de chez lui (DJ Lewis), à Abata (…) Il n’a pas porté main à la bonne dame, à plus forte raison, défiguré son visage. La photo qui a circulé sur internet date de 2018. Un petit problème de couple, affaire de portable. En ce moment où j’écris, il est à la maison en compagnie de son épouse et ses enfants », a-t-il démenti. Il faut noter que Juste Crépin a fini par présenter ses excuses à DJ Lewis et son épouse.
Même si les faits ne datent pas d’aujourd’hui, estiment les organisations de défense de droits des femmes, la loi ivoirienne donne la possibilité à la victime d’aller au tribunal pour demander une mesure d’éloignement par rapport à son bourreau ; ou la victime dispose de 5 ans pour demander réparation.