Franklin Nyamsi, qui avait annoncé que la Société Générale de banque en France a clôturé ses comptes bancaires, a laissé entendre qu’il n’en a plus accès. Que se passe-t-il ?
Franklin Nyamsi porte des accusations contre la Société Générale de Banque en France
Dimanche 14 novembre 2021, Franklin Nyamsi affirmait que la Société Générale de banque en France s’associait au harcèlement de la « dictature d’Alassane Ouattara » qui a ordonné la clôture de ses comptes bancaires domiciliés dans ladite banque. Tout en dénonçant « cette grave discrimination grave« , l’écrivain camerounais a pris la décision de protester et de dénoncer publiquement cette mesure d’autant plus arbitraire que Mme Véronique Modard, la conseillère de la Société Générale banque française fortement représentée en Afrique, a reconnu qu’il n’y avait pas de motif à cette décision.
Une semaine après la sortie de Franklin Nyamsi, on apprend que l’affaire a connu un autre rebondissement. En effet, le proche de Guillaume Kigbafori Soro a informé les internautes qu’il n’a plus accès à ses comptes bancaires. « Je vous confirme ce soir que la Société Générale, banque française, m’empêche désormais d’accéder à mes avoirs dans mes comptes », a écrit le professeur agrégé de philosophie sur son compte Twitter.
Cependant, les propos de Franklin Nyamsi ont été battus en brèche par des internautes qui n’y accordent aucun crédit. « Cette MARMAILLE va prendre si on était en Côte d’Ivoire. Mais en France, très cher prof.. Aucune banque ne peut toucher le compte d’un citoyen normal sans fondement juridique. Pardon dis nous la vérité… Tu n’as plus rien. TU VEUX UNE COTISATION ???? », a répondu un follower.
Un autre internaute a fait remarquer qu’en France, une banque ne peut prendre une telle décision. « La France ne s’occupe pas de votre petite personne et ne sait même pas qui vous êtes. Donnez la vraie version à vos suiveurs. Moi j’ai ma petite idée », a-t-il répondu. Pour l’heure, Franklin Nyamsi, membre de GPS (Générations et peuples solidaires) n’a pas répondu à ces commentaires.