Dimanche 24 octobre 2021, l’Organisation des jeunes libéraux de Côte d’Ivoire (OJLCI) a échangé avec Dr Hakima El Haite, la présidente de l’international libéral. La rencontre a eu lieu dans le cadre du lancement officiel du centre d’étude protective, qui s’est tenu le lundi 25 octobre.
Ce que Dr Hakima El Haite a confié aux jeunes libéraux ivoiriens
Il s’agissait pour l’Organisation des jeunes libéraux de Côte d’Ivoire d’initier un cadre de réflexions, de partages d’expérience dans l’objectif de renforcer les capacités de ses membres. Selon Idriss Ouattara, le président de l’OJLCI, les jeunes libéraux, qui ont soif de l’assurance de la dignité humaine, ont eu la possibilité de poser toutes leurs préoccupations au Dr Hakima El Haite, la présidente de l’international libéral.
« La présence de la présidente, Hakima El Haite, à nos côtés crée beaucoup d’espoir pour la jeunesse africaine et au niveau mondial. Je voudrais dire merci pour sa présence et surtout pour ces orientations dans le travail », a soutenu le leader de l’OJLCI des jeunes libéraux. Pour sa part, Hakima El Haite a entretenu ses filleuls sur les fondamentaux du libéralisme, les avantages de la pratique d’une politique libérale et la situation sociopolitique de la jeunesse ainsi que de la femme africaine.
« J’ai vu ces jeunes, j’ai vu de la motivation, j’ai vu la volonté, j’ai vu aussi un peu de détresse, il n’y a que le sentiment de la bataille, de la dignité pour la liberté pour un meilleur avenir. Faire en sorte qu’il ait une Côte d’Ivoire prospère, une Afrique prospère. La population est jeune en Afrique, c’est la richesse de l’Afrique, je le dis toujours que l’avenir du monde se trouve dans les jeunes Africains et de la femme africaine », a-t-elle dit.
Puis la responsable de l’international libéral d’ajouter : « J’ai un grand espoir avec la zone de libre-échange continental, la solidarité africaine, avec du leadership politique, nous pouvons réussir, il n’y a pas de raison, les Européens ont réussi le Traité de Rome et n’y a pas de raison que nous ne réussissons pas. Nous sommes capables de générosité et de solidarité, nous sommes capables d’établi des mécanismes à aider ceux qui n’en ont pas. Nous croyons à nos femmes, nous croyons à nos jeunes. Il n’y a pas de raison que nous, nous ne rêvons pas d’une Afrique prospère où chaque Africain ressent qu’il vit en dignité. »