Franck Ettien, auteur de l’oeuvre « Maman, je suis devenu journaliste », était dans les locaux d’Afriquesur7 le vendredi 6 août 2021. Le journaliste ivoirien, après avoir présenté son livre publié chez LebelEdition, a procédé à une séance de dédicace.
Franck Ettien présente son oeuvre à Afriquesur7
Vendredi 6 août 2021, Franck Ettien, auteur de « Maman, je suis devenu journaliste », une oeuvre littéraire de 113 pages sortie chez LebelEdition, a officiellement présenté son nouveau « bébé » aux journalistes d’Afriquesur7. Titulaire d’un DEA en lettres modernes et d’un master 2 en sciences politiques, l’écrivain exerce depuis plusieurs années en tant que journaliste. Comme le confie Franck Ettien, « Maman, je suis devenu journaliste » fait vivre au lecteur un dialogue entre un fils et sa mère décédée qui aurait voulu que son petit embrasse le métier de juge, mais celui-ci a préféré devenir journaliste.
« Ça peut être mon histoire. C’est un roman dans lequel beaucoup de pans ressemblent à mon histoire personnelle », a-t-il confié à Afriquesur7. Dans cette oeuvre, l’auteur aborde plusieurs thèmes comme la famille monoparentale, le transfert des rêves entre parents et enfants, l’éducation comme primauté de la réussite d’un enfant. Selon l’ancien vice-président de l’UNJCI (Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire), « Maman, je suis devenu journaliste » est « forcément intéressant à lire ».
« Dans la vie, on est la somme de toutes nos expériences. Je n’ai pas beaucoup réfléchi. Ce que j’avais à dire, je l’ai dit », répond Franck Ettien quand on lui demande dans quel état il a écrit son livre qu’il a autofinancé. Il faut savoir que sur chaque livre vendu, l’homme de média a décidé de reverser la somme de 500 francs CFA à l’orphelinat d’Azureti.
Kébé Yacouba, qui a préfacé le tout premier livre de Franck Ettien, en dit beaucoup de bien. « Wahou… ! C’est l’interjection que je poussai lorsque je finis de parcourir ce bouquin bourré de petites « pépites ». Bien qu’il se lise d’un trait, cet « opus » n’en est pas moins riche en émotions et en tournures stylistiques originales qui n’appartiennent qu’à l’auteur seul », assure l’ex-directeur général de la RTI (Radiodifusion télévision ivoirienne).