Retour fracassant de Diaba Sora qui fait sensation sur la toile. La Kim Kardashian malienne sortie de prison il y a quelques semaines, s’affiche très détendue dans son garage.
Un vent de liberté souffle sur Diaba Sora
Queen Diaba Sora is back. Des photos de la mondaine dans son garage avec sa Mercedes-Benz de couleur blanche, font briller les yeux des internautes. Les clichés de la belle Diaba Sora que l’on ne peut s’empêcher d’aimer, sont devenus viraux sur les réseaux sociaux et sont accueillis par des milliers de followers et de commentaires. Elle profitait de l’occasion pour faire une petite publicité.
“Plusieurs de ses abonnés ont aimé ou commenté les belles images de l’une des femmes les plus influentes sur les réseaux sociaux en Afrique de l’Ouest. « Ma championne, Queen Diaba Sora de l’Afrique », a commenté Souley Manssa Camara.
« Mais, tu n’es pas un homme, donc tu es une reine », a rectifié Zépé, faisant allusion au profil de Diaba Sora (king_diabasora). «Jolie photo mach’Allah, que le bon Dieu t’épargne les mauvaises langues », prie Babacar Sadji, un fan du Sénégal”, a constaté le afrik.com.
L’influenceuse avait été arrêtée, mercredi 26 mai 2021 à Bamako, avant d’être placée sous mandat de dépôt. Le motif de son arrestation serait lié à une note vocale qui a fuité sur la toile, dans laquelle elle tenait des propos injurieux et grossiers à l’endroit de ses concurrentes influenceuses.
« Si vos … ne marchent pas et ne valent pas 10F, la mienne vaut des milliards. C’est moi la vedette Diaba Sora, votre cauchemar…», a-t-on entendu dans l’enregistrement. L’information sur l’arrestation de la belle Diaba Sora avait suscité une vague de réactions sur la toile.
Un cyberactiviste malien avait indiqué que l’influenceuse était victime d’injustice. »L’audio date de 2 ans. On l’a insultée; elle a répliqué. Les insultes étaient privées, non publiques (…) La loi de cybercriminalité ne date pas de 2 ans alors que le vocal de Diaba date de plus de 2 ans. Je ne défends personne et je ne souhaite la prison à personne mais ce système est vraiment fait pour les pauvres sans défense », avait écrit le cyber-activiste Momo de Canada.