À Paris, la Côte d’Ivoire et le FMI (Fonds monétaire international) ont revisité leur coopération économique. En visite au pays d’Emmanuel Macron, Alassane Ouatttara a échangé avec Kristalina Georgieva, la directrice générale de l’institution financière fondée le 27 décembre 1945. C’était le dimanche 16 mai 2021.
Le FMI salue le travail des autorités de la Côte d’Ivoire
Samedi 15 mai 2021, Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire, a quitté son pays pour la France. Le chef d’État ivoirien répond ainsi à l’invitation de son homologue français Emmanuel Macron. Il devra prendre part au Sommet sur le financement des économies africaines, prévu pour le mardi 18 mai. « À l’invitation du Président de la République française, Son Excellence Monsieur Emmanuel Macron, le président Alassane Ouattara a quitté Abidjan, ce samedi 15 mai 2021, pour Paris (France) où il prendra part au Sommet sur le financement des économies africaines », a confirmé un communiqué de la présidence ivoirienne.
Profitant de son séjour sur le sol français, Alassane Ouattara a rencontré Kristina Georgieva, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) le dimanche 16 mai 2021. Selon la présidence de la République de Côte d’Ivoire, les échanges entre les deux personnalités ont tourné autour de la coopération entre les deux parties. Le chef de l’État et son interlocuteur ont passé en revue les relations qui lient le pays de feu Félix Houphouët-Boigny à l’institution financière. Pour sa part, la première responsable du FMI a tenu à saluer l’excellent travail des autorités ivoiriennes dans le cadre de la lutte contre la maladie à coronavirus. Kristina Georgieva n’a pas manqué de réitérer le soutien de l’institution qu’elle dirige auprès de la Côte d’Ivoire dans sa relance économique, assure la présidence ivoirienne.
Pour revenir au Sommet sur le financement des économies africaines, il faut savoir qu’il vise à mettre en place un soutien financier massif aux économies africaines durement éprouvées par la pandémie de covid-19, et à poser les bases d’un nouveau cycle de croissance sur le continent.