La titrologie du 26 mars 2021 ou la revue de presse de ce vendredi est légèrement dominée par la formation du nouveau gouvernement ivoirien, qui a été annoncée par le chef de l’État, Alassane Ouattara.
La formation du nouveau gouvernement au coeur de la titrologie du 26 mars 2021
Plusieurs journaux se sont intéressés ce vendredi à la formation du prochain gouvernement ivoirien. L’Essor Ivoirien barre à sa Une: »’Prochain gouvernement, les Ivoiriens impatients, Ouattara en prospection ».
L’Héritage indique à sa première page: »Formation du nouveau gouvernement, voici les conditions de Ouattara qui pose problème à l’opposition ».
Le Bélier Intrépide mentionne à sa page d’ouverture: »Formation du prochain gouvernement, le piège que l’opposition doit éviter. Ça grogne déjà ».
Pour sa part, le journal L’Inter titre à sa Une: »Nouveau gouvernement ivoirien, qui et comment Ouattara va choisir ». Quant à Soir Info, il barre à sa Une: »Dissolution du gouvernement, pourquoi Ouattara n’a pas reconduit Patrick Achi ».
Outre la formation du nouveau gouvernement, le nom du président Alassane Ouattara a également été cité dans la titrologie du 26 mars 2021.
»Poursuite du dialogue politique, Ouattara ne veut rien lâcher », mentionne le Rassemblement, quand Le Patriote affiche à sa page d’accueil:
» Hamed Bakayoko, le bouclier d’Alassane Ouattara. Comment il a été le rempart sûr de la sécurité et de la défense nationale ».
L’Intelligent d’Abidjan pointe à sa Une: »Conférence des chefs d’États et de Gouvernements de l’Uemoa, Ouattara cède le fauteuil de président à son homologue Roch Kaboré ».
Le procès du chef de guerre, Amadé Ouérémi, est également évoqué dans la titrologie du 26 mars 2021. »Le juge coince Amadé Ouérémi : qui est l’auteur des 817 morts en une journée ? », lit-on à la Une de Notre Voie.
Dernière Heure Monde pointe à sa page d’ouverture: »Amadé Ouérémi contredit Anne Ouloto et enfonce les ex-chefs de guerre ».
Le Temps mentionne à sa page d’accueil: »Procès du mercenaire pro-Ouattara, les victimes racontent les crimes d’Amadé Ouérémi ».