Les élections législatives en Côte d’Ivoire pourraient permettre une grosse surprise. À Anyama, deux candidats indépendants, Boli Aimé Narcisse et Touré Youssouf, sont convaincus de leurs chances de rafler la mise à leurs adversaires samedi 6 mars prochain.
Élections législatives en Côte d’Ivoire : Boli Aimé et Touré Youssouf confiants
Porter la voix des populations de la circonscription d’Anyama et Broffodoumé aux élections législatives en Côte d’Ivoire est le veux de Boli Aimé Narcisse et Tour Youssouf. Pour le scrutin législatif du samedi 6 mars 2021, ces deux hommes font un travail de terrain. Pour atteindre leurs objectifs, ces deux candidats indépendants, titulaires de la liste ENSEMBLE POUR LA PAIX, veulent compter sur un « original et ambitieux » projet politique.
« Convaincues de l’originalité et de l’importance de notre projet politique, les populations d’Anyama et de Brofodoumé, commune et sous-préfecture, nous éliront pour représenter plus dignement les populations de la nation tout entière à l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire. À ce titre, nous ferons un bon usage de notre mandat national, car le peuple ivoirien mérite d’être mieux servi », disent-ils dans une déclaration commune.
« Ce peuple a désormais, besoin de vrais porte-paroles à l’Hémicycle pour la meilleure défense de ses intérêts par la société civile affranchie contre les tristes pesanteurs et révoltantes contraintes de partis politiques », ont fait savoir les deux candidats à ses élections législatives en Côte d’Ivoire avant d’ajouter : « La crédibilité de nos engagements réside dans notre détermination à œuvrer inlassablement à l’adoption de lois provenant de l’esprit réel du peuple imposant le respect à tout élu, afin d’éloigner, dans sa sacrée mission politique, de l’esprit des prédateurs et aventuriers corrompus qui prennent tristement en otage le bonheur de nos populations et le vrai développement de notre beau pays ».
Il s’agira donc, dans le cadre de la mise en œuvre de leur offre politique de procéder à la création d’un Comité de contrôle des actions politiques (CCAP), lequel organe sera composé de tous les leaders d’opinion issue de la société civile. « Il sera décentralisé et imposera à chaque élu de signer dans la transparence et publiquement, un engagement sur l’honneur, qui lui imposera la prise en compte ,permanente, de l’aspiration de toutes les couches sociales, sans aucune discrimination. Ce comité sera le lieu de consultations populaires avant toute décision importante régissant la vie de la nation. Il se réunira ordinairement tous les six mois (06 mois) soit deux (02) fois par an », révèlent-ils des tâches qui seront attribuées à ladite CCAP, une fois mis en place.