L’artiste Couper-décaler, Safarel Obiang, est une fois de plus monté au créneau pour expliquer comment il a été escroqué par une promotrice immobilière.
Voici comment Safarel Obiang s’est fait gruger
Dans une vidéo publiée sur la célèbre page Facebook First Mag le vrai, Le Safking a expliqué dans les moindres détails comment les choses se sont passées.
« En 2019, une de mes potes m’a présenté sa mère comme étant cadre de société immobilière. Celle-ci m’a fait la proposition de me vendre une maison. Nous sommes partis sur la base de la confiance, et en janvier 2019 nous l’avons contactée pour lui verser la somme de 10.000.000fcfa à titre d’avance pour un total de 45.000.000fcfa. J’étais intéressé par cette maison parceque je souhaite loger chacun de mes danseurs. Ce sont des orphelins et certains n’ont ni père ni mère, je suis tout pour eux, je ne suis pas capable de louer une maison pour chacun d’eux, donc je voulais acheter cette maison pour être constamment avec eux », a expliqué Safarel Obiang.
Avant d’ajouter: »Lorsque nous lui avons remis l’argent, elle a dit c’est ok, et qu’elle devait terminer la maison avant de me remettre les clés. Une semaine après, elle nous rappelle pour nous dire que les maisons ne coûtent plus 45.000.000 mais plutôt 80.000.000f. Je lui ai donc demandé de nous trouver une villa de 45.000.000f, elle a refusé et ne nous a rien proposé. Elle nous a dit que toutes les villas étaient passées de 45 à 80.000.000f. Je lui ai demandé de nous restituer l’argent ».
Poursuivant, Safarel Obiang a fait savoir que la promotrice immobilière a usé de toutes les astuces possibles pour ne pas rembourser les 10 millions de Fcfa. »Elle nous a dit dans 1 mois, ensuite 2 mois, au début du 3ème mois, elle nous a donné un chèque correspondant aux 10.000.000f. Mon manager a déposé le chèque à la banque, le chèque est sorti impayé. Contactée, la dame a joué les étonnée. Vu qu’elle est une maman, je ne voulais pas y aller trop fort. Elle nous a relancés sur 6 mois, quand nous l’appelions elle coupait nos appels, lorsque nous sommes allés dans les deux maisons qu’elle nous avait présentées comme ses domiciles, elle n’y était pas », indique-t-il, tout en affirmant que même la Police judiciaire n’a pas pu résoudre le problème.
»Ensuite mon manager l’a retrouvée, nous sommes allés porter plainte a la PJ. Elle a promis à la police de payer et a demandé 1 mois pour payer. Ensuite le policier nous a donné raison. À plusieurs reprises, mon manager est allé à la PJ il n’y a pas eu de suite pendant plus d’un an. Après renseignements, une personne nous a dit que nous devions déposer une nouvelle plainte en 2021. C’est cette nouvelle plainte que vous voyez sur les réseaux sociaux », a-t-il renchéri.