Dans une interview accordée à Afrique-sur7.fr, Jim et Pitch du groupe Voix des anges (VDA), ont révélé ce que le président de l’Africa Sports, Antoine Bahi, et l’international ivoirien Serey Dié Geoffroy ont apporté dans l’évolution de leur carrière.
Tout sur les financiers du groupe zouglou VDA
Le groupe Voix des anges, fait partie aujourd’hui des porte-flambeaux du Zouglou en Côte d’Ivoire. Le dernier album dont le titre phare est intitulé: ‘’Tu chantes pas fort‘’ connait un véritable succès en Côte d’Ivoire et à l’international.
Dans une interview vidéo accordée à Afrique-sur7.fr, Jim et Pitch se sont prononcés sur les apports du président de l’Africa Sports, Antoine Bahi, et de l’international ivoirien Serey Dié Geoffroy dans la carrière du groupe VDA.
S’exprimant sur le label ‘’Schama Prod’’ qui accompagne la carrière du groupe, Jim a fait savoir que le dirigeant de l’Africa Sports, Antoine Bahi, a d’abord, été comme une sorte de parrain pour le groupe.
‘’Schama Prod appartient au fils de Josey. Comme l’enfant est petit, le papa (Sérey Dié), derrière, soutient ce qu’il a mis en place pour son fils. Avec Schama Prod, c’est une belle collaboration qui dure depuis 3 ans. Nous avons signé pour 5 ans‘’, a indiqué Jim.
Avant d’ajouter: ‘’Bien avant Schama Prod, nous avions bénéficié du soutien d’un père. Il s’agit de Bahi Antoine, président de l’Africa Sports. Grâce à lui, nous avons sorti un album qui a même été déclaré au Burida… Serey Dié a pris les choses en main; il nous a fait certaines propositions et on avait convenu avec papa Antoine Bahi que si on avait de bonnes propositions, on pouvait aller. Donc nous sommes allés le voir; le vieux a regardé ce que nous proposait Schama Prod; il a vu que c’était bon …‘’.
Affirmant que le groupe demeure en de bons termes avec Antoine Bahi, Jim VDA a adressé ses remerciements au dirigeant de l’Africa Sports d’Abidjan pour les énormes services rendus.
‘’Nous sommes toujours en de bons termes. Le vieux ne nous demandait rien en retour. Il ne demandait pas de pourcentage, c’était comme une sorte de parrainage. On lui dit toujours merci pour ce qu’il a fait pour nous‘’, confie Jim.