Après l’épisode du projet plagié, Yvidero est encore au centre d’une autre affaire de plagiat. La web humoriste ivoirienne est accusée d’avoir copié une idée d’Emmanuelle Keita. Que s’est-il passé ?
Que se passe-t-il réellement entre Yvidero et Emmanuelle Keita?
Tout est parti d’une publication d’ Yvidero sur la toile. En effet, la célèbre web humoriste invitait ses followers à faire usage du hashtag #PRO_PAIX. « Je demande humblement à toutes mes Étoiles de mettre ce hashtag sur toutes leurs publications futures. Nous sommes Pro Paix. Excellent week-end Mes Étoiles », a écrit la jeune dame.
Mais bien avant cette publication, Emmanuelle Keita avait déjà utiliser le même hashtag sur sa page Facebook. « Je suis Pro Respect/ Pro Paix. Ah, j’oubliais; je parle un peu de Bambara, ne vous donnez pas autant de mal à me pondre une phrase en français (…) », avait écrit Emmanuelle Keita.
La toile s’est immadiatement enflammée et des internautes ont vite fait d’accuser Yvidero de plagiat. « A un moment, il faudra bien assumer que je suis une source d’inspiration ! Hein cousine ? Ça t’arrive des fois d’avoir une idée à toi ? Ou tu es juste née pour copier et clamer une gloire imaginaire pour ensuite pleurer un peu à la demande ! Cartoon ambulant ! », a déclaré Emmanuelle Keita.
Il faut noter que les deux dames ont déjà été aux prises dans l’affaire où Yvidero était accusée d’avoir plagié le projet web du nommé Kouamé Koffi Aimé.
« Je n’ai jamais porté plainte contre quelqu’un parce que j’ai l’amour du prochain. Ils m’ont convoquée. Je suis partie répondre. Le droit a parlé. On dit qu’il n’y a pas de plagiat », a fièrement posté Yvidero sur la toile.
Pour sa part, Emmanuelle Keita a vivement exprimé sa colère contre le BURIDA (Bureau ivoirien du droit d’auteur) qui venait d’innocenter Yvidero.
« Je suis très en colère contre le Burida. Ceux-là mêmes qui ont donné raison à César et après ont dit le contraire … Très en colère contre ces personnes qui minimisent cette histoire et la classe au rang de buzz et de jalousie ! ça devient fatiguant », s’était-elle écriée.