Devant la nouvelle de la mort de l’actrice Aldina Sasso, retrouvée morte à son domicile, Guy Kalou a exprimé sa profonde tristesse. Le célèbre acteur ivoirien a lancé un appel aux autorités ivoiriennes afin que la lumière soit faite sur cette affaire.
Mort d’Aldina Sasso, Guy Kalou appelle à des enquêtes
La nouvelle de la mort d’Aldina Sasso a choqué le monde du cinéma ivoirien. En effet, la jeune dame, de son vrai nom Dali Philo Mené Sasso, révélée grâce au film « Ma grande famille », a été retrouvée sans vie à son domicile, à la Riviera Palmeraie, le samedi 10 octobre 2020. Elle jouait le rôle de la revenante dans le téléfilm produit par Akissi Delta.
« Aldina Sasso qui occupait un studio au 1er étage d’un immeuble, a été découverte morte gisant sur son lit, les mains ligotées. Visiblement, elle aurait été étouffée dans des circonstances que devra encore déterminer une enquête. Le corps de la victime portait de fait, un morceau de tissu au visage et dans la bouche », a-t-on appris auprès de la plateforme Police Secours.
À 37 ans, Aldina Sasso est arrachée à l’affection des siens dans des conditions bizarres. L’annonce de sa mort a ébranlé la toile. Le monde du cinéma a été très secoué par la brutale disparition de la jeune actrice. Guy Kalou, une grande figure du 7e art ivoirien, n’est pas resté silencieux dans cette affaire.
Dans une publication sur sa page Facebook, l’acteur ivoirien est apparu très affligé. « Il nous revient des informations selon lesquelles, le corps sans vie, ligoté, de l’actrice de cinéma, #Aldina_Sasso, aurait été retrouvé, hier samedi 10 octobre 2020, à sa résidence de la Riviera-Palmeraie. Nous prions nos autorités, compétentes en la matière, de mettre tout en oeuvre, pour que la lumière soit faite sur cette affaire », a écrit Guy Kalou.
L’époux de Victoire Kouadio a exprimé ses condoléances les plus attristées à la famille d’Aldina Sasso, nièce de Michel Bohiri. « Le cinéma ivoirien perd une de ses valeurs sûres. ADIEU Aldina. Que le Très-Haut t’accueille jeune sœur. Hélas, hélas… », a publié Guy Kalou.