En titrologie, la gestion de la crise sanitaire due à la propagation de la maladie à coronavirus continue d’alimenter les Unes des journaux de ce mercredi 1er avril 2020. Les journaux ivoiriens ont tourné leurs regards vers les efforts consentis par le gouvernement en vue d’ endiguer la progression de la maladie.
Titrologie/ Covid-19 : Du matériel médical débarqué à Abidjan, Dr Assoa Adou dans les cordes
Le quotidien le Mandat ouvre la titrologie de ce mercredi 1er avril 2020 avec l’arrivée d’un important don de matériels de santé destinés à la lutte contre la progression du Covid-19.
“Lutte contre le coronavirus : La Côte d’Ivoire reçoit du nouveau matériel”, informe le Journal. Évaluant le coût du matériel arrivé a hauteur de 1 milliard de Fcfa. “Un gros mato’s est arrivé”, informe pour sa part le Patriote.
Le confrère révèle également la mobilisation de 28 milliards de FCFA destinés à l’achat de matériel médical dans le cadre de cette guerre virtuelle, engagée contre la pandémie du Covid-19.
Comme pour démontrer à l’opinion que le gouvernement ivoirien se donne les moyens de faire face à cette pandémie.
“Lutte contre le COVID-19, plus de 28 milliards déjà débloqués”, écrit à sa Une la Gazette sur le même sujet.
“ Nous voulons gagner ce combat contre le Covid-19”, martèle la ministre Ane Oulotto en charge de l’assainissement à la manchette du confrère le Matin.
Outre la crise sanitaire, l’actualité politique notamment la décision de la Cour de cassation d’autoriser des poursuites à l’encontre du secrétaire général du FPI, Dr Assoa Adou, occupe une place de choix à la Une des journaux ivoiriens.
Ainsi dénonce le Temps: ”Assoa Adou victime d’une procédure expéditive”, écrit le confrère à propos de l’audience qui a eu lieu, à la Cour de cassation, mardi.
“Après deux minutes de procès, la justice autorise des poursuites contre Assoa Adou”, informe à sa manchette le Nouveau Courrier.
Autre information relayée à la Une des tabloïds du jour, c’est la libération de Jacques Mangoua, vice-président du PDCI-RDA après plus de 5 mois d’incarcération à la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan.