La mère de Dj Arafat, Tina Glamour, a récemment dévoilé les raisons pour lesquelles elle a exhibé son corps durant sa jeunesse.
Tina Glamour: »J’ai été une femme battue dans mon foyer »
La mère de feu Dj Arafat, Logbo Valentine alias Tina Glamour, à l’instar de son fils, a été une artiste qui a véritablement marqué son temps dans les années 90. Ayant passé la majeure partie de son enfance aux États-Unis, Tina Glamour qui se faisait autrefois appeler Tina Spencer, s’est démarquée de ses principales concurrentes à l’époque grâce à un style assez particulier.
En effet, la mère du Daishikan avait l’habitude d’exhiber ses rondeurs. Chose qui ne passait forcément pas inaperçue et qui malgré tout, était fort appréciée par de nombreux melomanes.
Des observateurs de la musique ivoirienne se sont à maintes reprises interrogés sur les raisons pour lesquelles la mère de Dj Arafat affectionnait tant ce genre de pratique. Eh bien! On en sait un peu plus puisque des propos de Tina Glamour ont été relayés sur les réseaux sociaux par »Media Prime » dans lesquels elle dévoilait les motivations pour lesquelles elle exibait son corps par le passé.
« J’ai été une femme battue dans son foyer. Après mon divorce, j’avais donc la rage. Je voulais micher mon ex-époux qui m’a abandonnée seule avec mes enfants; lui montrer que malgré mes accouchements, j’avais encore de beaux restes. D’où, le style que je me suis imposée. Dieu merci, mes accouchements n’ont pas joué sur mon physique; sur mon corps comme les vergetures par exemple. C’est vrai qu’avec l’âge, on prend du poids. Mais je fais un peu attention à ma ligne. Si tout de suite, on me demande de perdre 30 kilos pour un gombo de 50 millions. Je suis prête à le faire. Car je m’adore. Je mise sur mon corps », a soutenu Tina Glamour.
Tina Glamour a récemment révélé qu’elle ne pourra jamais digérer la brusque disparition de son fils, Dj Arafat jusqu’à la fin de ses jours. »Cet enfant était spécial pour moi parce qu’il est mon fils unique. Il n’y a personne d’autre qui pourra remplacer Ange Didier. Jusqu’aujourd’hui, je ne crois pas. Il y a des moments où je suis assise chez moi et je me dis: »mais Ange Didier, tu m’as fait ça? Tu es vraiment parti? A 33 ans, c’est trop tôt, c’est une partie de moi qui est morte, une moitié. Mais comme je suis vivante, si je pouvais donner ma vie pour que mon fils revienne. J’ai dit à Dieu, c’était injuste. Il n’a même pas eu 40 ans… », a soutenu Logbo Valentine lors d’un entretien accordé à Opera News.