Après avoir accusé le commissaire du gouvernement, Ange Kessi, d’avoir abusé d’elle, la jeune Sephora Blanche Lala est finalement passée aux aveux.
Sephora: »Je n’ai jamais connu Ange Kessi; j’ai fait ça pour qu’on parle de moi »
Mercredi 15 Janvier 2020, une jeune fille répondant au nom de Sephora Blanche Lala a fait une publication qui a eu l’effet d’une bombe sur les réseaux sociaux. La jeune fille a confié avoir entretenu des rapports sexuels avec le Contre-Amiral Ange Kessi Kouamé et que ce dernier lui aurait promis un véhicule de marque Jeep.
Sephora qui dit que le commissaire Ange Kessi n’a pas respecté sa parole, a donc décidé de tout balancer sur les réseaux sociaux, menaçant même d’exposer la nuditée de l’officier général. Informé des accusations proferées contre lui, le Commissaire du gouvernement a aussitôt instruit la Brigade de recherches afin de diligenter une enquête.
A en croire Police Secours, la jeune Sephora Blanche Lala, interpellée dans la matinée du mercredi 15 Janvier, a affirmé n’avoir jamais été en contact avec le Procureur Militaire, tout en ajoutant qu’elle a été victime d’un piratage de son compte Facebook. Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux dans la soirée du mercredi, la jeune fille a finalement décidé de passer aux aveux.
»Je viens m’excuser pour tout ce que vous voyez sur le net en ce moment contre le commissaire Ange Kessi. Je ne l’ai jamais connu. J’ai fait cela pour que les gens parlent de moi, pour me faire connaître. Je ne l’ai jamais connu. J’ai menti que mon compte a été piraté parce que j’avais peur quand les gendarmes sont venus me chercher chez moi. Je demande pardon. Je ne l’ai jamais connu », a soutenu Sephora Blanche Lala.
Après les aveux de la jeune fille, les spéculations vont bon train sur la toile. Alors que certains internautes tirent à boulets rouges sur cette dernière, la traitant de fille aux moeurs légères, d’autres estiment que celle-ci a été contrainte de faire cette vidéo dans l’objectif de laver l’image du commissaire Ange Kessi. Dans tous les cas, le mal est déjà fait, et la procédure engagée par l’officier de l’armée suit son cours.