L’ONG Afrique Impact s’insurge contre les viols perpétrés en l’endroit les enfants. Dans une note dont copie nous est parvenue de la part du service de communication, son président fondateur, Guy Paramour a interpellé les autorités ivoiriennes, non sans dénoncer ces pratiques inhumaines commises sur de pauvres êtres innocents.
Viol d’enfants, Afrique Impact interpelle le gouvernement
Guy Paramour, premier responsable de l’ONG Afrique Impact, a vigoureusement dénoncé les cas de viols d’enfants en Côte d’Ivoire. À travers un communiqué, le président d’ Afrique Impact a pris position contre ces actes de violences subis par les enfants. Ci-dessous l’intégralité de la note :
L’on appelle enfant, tout être humain en bas âge, de zéro à 14 ans, incapable de distinguer le bien du mal et qui a besoin de la protection de ses parents pour évoluer. Les enfants sont des êtres fragiles que les adultes doivent protéger et guider.
Malheureusement, beaucoup de personnes font du mal à ces êtres fragiles en les battant, les privant de nourriture, enfin de leurs droits. Certains vont jusqu’à voler l’innocence de ces petits êtres en abusant sexuellement d’eux.
Et cet acte abominable est récurrent et fait effet de mode. C’est à croire que se sont des rituels démoniaques qu’ils pratiquent sur ces enfants. Il est impensable de savoir que ces bébés sans force, qui ne peuvent pas se défendre peuvent être la cible de ces méchantes personnes.
C’est vraiment triste et écœurant de voir une pauvre petite fille telle que Grâce avoir sa vie ôtée. J’ai vraiment mal au cœur. Mais elle n’est pas la seule dans ce cas, car beaucoup d’enfants se font agresser sexuellement et les parents restent muets sur ces abominations. Il faudrait qu’ils dénoncent cela, car les victimes en souffrent terriblement et gardent des blessures intérieures qui changent soit leur comportement ou le cours de leur vie entière. Il ne faudrait pas que ces parents arrêtent de décider pour ces victimes en réglant ces crimes à l’amiable sous prétexte qu’ils seront humiliés, car leur rôle est de protéger leurs enfants que l’Éternel leur a donnés.
Est-ce qu’ils ont, ne serait ce qu’une fois, songer à la douleur de ces victimes ? Ont-ils demandé à celles-ci ce qu’elles veulent ?
Le fait de ne pas dénoncer ces criminels les encourage à récidiver.
Nous appelons le gouvernement ivoirien à mettre tout en œuvre pour mettre fin à ces abominations.
Guy Paramour
Président fondateur de l’ONG Afrique Impact