Samedi 21 septembre 2019, la titrologie ou la revue de presse ivoirienne est marquée par une sortie d’Henri Konan Bédié, le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI). L’actualité porte également sur l’altercation entre les forces spéciales et les policiers à la préfecture de police.
Titrologie, Bédié met Ouattara en garde pour 2020
« Contrairement à moi, Ouattara n’a pas le droit de se présenter », affirme Henri Konan Bédié dont les propos sont repris par L’Inter, dans sa parution du samedi 21 septembre 2019. Dans ce même journal, un politologue explique tout sur l’alliance entre Laurent Gbagbo et Bédié. Soir Info, précise que le président du plus vieux parti politique ivoirien dévoile « la stratégie commune du PDCI avec Gbagbo ». Notre confrère nous rapporte qu’ Alassane Ouattara change les dispositions de sécurité autour de lui avant la présidentielle 2020.
Dans sa titrologie, Le Nouveau Réveil, se dresse contre l’attribution du Prix Nobel de la paix au président ivoirien. « C’est « NON » (au moins) 6 fois ! », argue le quotidien proche du PDCI. Le média apprend que Kandia Camara vient d’être nommé « à un échelon unique en Côte d’Ivoire ».
Pour sa part, Le Matin, livre un message d’ Alassane Ouattara qui s’adresse aux politiciens. « Arrêtez les petites querelles de chapelle et de personne », lance le chef de l’Etat. Suite à l’interview d’Henri Konan dans Jeune Afrique, à propos de la candidature de Ouattara en 2020, le journal titre que l’ancien président ivoirien « dérape encore ».
Concernant l’affaire de l’altercation entre des éléments des forces spéciales et des policiers à la préfecture de police, Soir Info, note que des éléments des forces spéciales ont été mis aux arrêts puis transférés dans une prison de haute sécurité. Le journal indépendant nous fait savoir que « de graves menaces pèsent sur Tina Glamour », après sa décision de dissoudre la « Yorogang ».
Le Patriote, s’interroge sur la nouvelle vie des ex-com zones, 17 ans après la rébellion ivoirienne. A la Une de Le Temps, nous notons qu’ « après l’acte de dépôt d’appel, Bensouda avoue avoir commis des erreurs ».