En séjour à Koweït city, Didier Drogba a été émerveillé par la manière dont les richissimes hommes d’affaires couraient après la connaissance pour bien asseoir leur fortune. L’ancien footballeur international ivoirien, qui s’est également mué en homme d’affaires, a tenu à partager cette belle expérience pour permettre à ceux de ses compatriotes et autres Africains de changer de mentalité afin de devenir également riches pour sortir le continent de sa léthargie.
Le témoignage de Didier Drogba pour devenir riche
Ma première fois d’aller au KOWEÏT, une île, comme une ville indépendante, entièrement comme un État, développé comme DUBAÏ, mais humble, qui ne fait pas de publicité touristique comme DUBAÏ.
J’ai été logé à l’hôtel SYDNEY PEARL, propriété d’un jeune de 29 ans, vérifiez sur le net. J’y ai fait 5 jours. Et chaque jour, des millionnaires Arabes et Américains venaient suivre une formation d’une heure de temps dans la salle de conférence de l’immeuble.
Le 5e jour, curieux j’étais, j’ai décidé d’y faire un tour. J’aperçois des pères et mères de famille, riches, en train de suivre une formation sur « Comment gérer une quincaillerie, comment gérer un centre commercial, comment vendre, comment attirer les clients, comment gérer une boulangerie ? »
J’étais ébahi, j’ai demandé à mon traducteur » Avec tout l’argent qu’ils ont, ils peuvent être patrons sans se former, pourquoi ils font ça ? ».
Un Millionnaire qui était juste derrière nous a entendu et m’a répondu : « Tu es millionnaire aussi Didier, mais pourquoi tu t’entraînes avant d’aller jouer ? Embauche quelqu’un pour jouer à ta place, impossible ».
Pendant 30 secondes, je me suis posé 1000 questions, et j’ai eu 1000 réponses. J’étais content de voir ça. Après la formation, chacun a pris sa FERRARI pour rentrer chez lui.
Saviez-vous que BILL GATES entend mon nom, mais il ne m’a jamais vu ? Pourquoi ? Parce qu’il est occupé à faire des recherches à se former, à apprendre, à gonfler sa fortune, il n’a pas le temps de regarder la télévision, il continue de se former malgré sa fortune.
Nos jeunes refusent de se former et d’apprendre, ils pensent déjà à vivre la belle vie sans fortune, c’est ce qui les retarde.