Charles Koffi Diby siègera, en 2019, pour la Côte d’Ivoire, élue au JCR, Joint Committee on the Remuneration of Executive Directors and their Alternates, un organe mixte de réflexion et de production de recommandations de la Banque Mondiale, et du FMI.
Charles Koffi Diby, membre siégeant au JCR
Charles Koffi Diby, président du CESEC, Conseil économique, social, environnement et culturel, representera la Côte d’Ivoire désormais membre du JCR, Joint Committee on the Remuneration of Executive Directors and their Alternates, une structure stratégique, mise en place par la BM, Banque mondiale, et le FMI, Fonds monétaire international, en vue statuer sur des questions liées au fonctionnement des deux grandes institutions financières.
Ce samedi 23 février 2019, à Washington aux Etats-Unis d’Amérique, la haute hiérarchie des Institutions de Bretton woods, la Banque mondiale, et le FMI, Fonds monétaire international, a ainsi porté son choix, pour l’année en cours, sur ce seul pays africain, à côté de deux autres, la Finlande, (Europe), et les Iles Figi (Pacifique sud).
Ministre de l’Economie et des finances, sous la Refondation de l’ex-Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, et des débuts du pouvoir du Président Alassane Ouattara, M. Diby a été au centre des négociations sur l’atteinte du point d’achèvement du PPTE, Pays pauvres très endettés, en 2012. Technocrate auréolé de plusieurs distinctions nationale et internationales, il a été meilleur successivement meilleur ministre de l’Economie et des finances 2010, Zone Afrique Subsaharienne, décerné par le Magazine The Banker du Financial Times, pour la gestion 20 ; meilleur ministre de l’Economie et des finances 2010, Zone Afrique Subsaharienne, Prix Emerging Markets ; meilleur ministre de l’Economie et des finances 2013, Zone Afrique Subsaharienne, décerné par le Magazine The Banker du Financial Times, pour la gestion 2012.
Habitué de la sphère mondiale des finances, doit assurément avoir le soutien du Président Ouattara. Charles Koffi Diby a été également ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement ivoirien.
Avec le Sercom du CESEC