Le ministre du Cameroun chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo, a assuré vendredi que la situation sécuritaire était « sous contrôle, d’une manière générale, » sur l’ensemble du territoire, lors d’une rencontre.
La sittuation sécuritaire au Cameroun nettement améliorée
« D’une manière générale, à l’exception notable des régions de l’Extrême-nord, des 2e et 5e régions militaires, correspondant aux régions administratives du Littoral et du Sud-ouest, de l’Ouest et du Nord-ouest, la situation sécuritaire, dans l’ensemble du pays est sous contrôle des autorités et des Fores de défense et de sécurité qui travaillent en synergie », a dit M. Beti Assomo.
Le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, s’exprimait à l’occasion de la rencontre de sécurité consacrée aux préparatifs de la fête nationale, prévue le 20 mai.
Depuis 2016, le Nord-ouest et le Sud-ouest, les deux régions anglophones du Cameroun, traversent une crise sociopolitique.
Un consortium de syndicats anglophones dissout, exigeait l’indépendance de leurs régions et le départ de M. Biya, au pouvoir depuis 35 ans. Le consortium dénonçait également la marginalisation de la minorité anglophone (environ 20% des 24 millions d’habitants) par rapport à la majorité francophone.
Axées au départ (octobre 2016), sur des aspects corporatistes, les revendications des avocats et enseignants anglophones se sont par la suite transformées en une crise sociopolitique, en raison des répressions des forces de l’ordre.
La situation s’est dégradée avec l’interpellation au Nigeria de 47 séparatistes, dont Sisiku Ayuk Tabe (leader) et leur extradition au Cameroun. Outre les attaques contre les Forces de défense, des groupes sécessionnistes armés, procèdent à des enlèvements de responsables administratifs.
Dans l’Extrême-nord, le pays est confronté à des attaques de la secte islamiste Boko Haram.
Selon le centre d’analyse international crisis group (ICG), le groupe armé a tué « 2.000 civils et militaires » et enlevé « un millier de personnes » dans l’extrême-nord du pays, depuis 2014, date à laquelle le Cameroun a commencé à lutter contre la secte.
« D’une manière générale, à l’exception notable des régions de l’Extrême-nord, des 2e et 5e régions militaires, correspondant aux régions administratives du Littoral et du Sud-ouest, de l’Ouest et du Nord-ouest, la situation sécuritaire, dans l’ensemble du pays est sous contrôle des autorités et des Fores de défense et de sécurité qui travaillent en synergie », a dit M. Beti Assomo.
Le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, s’exprimait à l’occasion de la rencontre de sécurité consacrée aux préparatifs de la fête nationale, prévue le 20 mai.
Depuis 2016, le Nord-ouest et le Sud-ouest, les deux régions anglophones du Cameroun, traversent une crise sociopolitique.
Un consortium de syndicats anglophones dissout, exigeait l’indépendance de leurs régions et le départ de M. Biya, au pouvoir depuis 35 ans. Le consortium dénonçait également la marginalisation de la minorité anglophone (environ 20% des 24 millions d’habitants) par rapport à la majorité francophone.
Axées au départ (octobre 2016), sur des aspects corporatistes, les revendications des avocats et enseignants anglophones se sont par la suite transformées en une crise sociopolitique, en raison des répressions des forces de l’ordre.
La situation s’est dégradée avec l’interpellation au Nigeria de 47 séparatistes, dont Sisiku Ayuk Tabe (leader) et leur extradition au Cameroun. Outre les attaques contre les Forces de défense, des groupes sécessionnistes armés, procèdent à des enlèvements de responsables administratifs.
Dans l’Extrême-nord, le pays est confronté à des attaques de la secte islamiste Boko Haram.
Selon le centre d’analyse international crisis group (ICG), le groupe armé a tué « 2.000 civils et militaires » et enlevé « un millier de personnes » dans l’extrême-nord du pays, depuis 2014, date à laquelle le Cameroun a commencé à lutter contre la secte.
« D’une manière générale, à l’exception notable des régions de l’Extrême-nord, des 2e et 5e régions militaires, correspondant aux régions administratives du Littoral et du Sud-ouest, de l’Ouest et du Nord-ouest, la situation sécuritaire, dans l’ensemble du pays est sous contrôle des autorités et des Fores de défense et de sécurité qui travaillent en synergie », a dit M. Beti Assomo.
Le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, s’exprimait à l’occasion de la rencontre de sécurité consacrée aux préparatifs de la fête nationale, prévue le 20 mai.
Depuis 2016, le Nord-ouest et le Sud-ouest, les deux régions anglophones du Cameroun, traversent une crise sociopolitique.
Un consortium de syndicats anglophones dissout, exigeait l’indépendance de leurs régions et le départ de M. Biya, au pouvoir depuis 35 ans. Le consortium dénonçait également la marginalisation de la minorité anglophone (environ 20% des 24 millions d’habitants) par rapport à la majorité francophone.
Axées au départ (octobre 2016), sur des aspects corporatistes, les revendications des avocats et enseignants anglophones se sont par la suite transformées en une crise sociopolitique, en raison des répressions des forces de l’ordre.
La situation s’est dégradée avec l’interpellation au Nigeria de 47 séparatistes, dont Sisiku Ayuk Tabe (leader) et leur extradition au Cameroun. Outre les attaques contre les Forces de défense, des groupes sécessionnistes armés, procèdent à des enlèvements de responsables administratifs.
Dans l’Extrême-nord, le pays est confronté à des attaques de la secte islamiste Boko Haram.
Selon le centre d’analyse international crisis group (ICG), le groupe armé a tué « 2.000 civils et militaires » et enlevé « un millier de personnes » dans l’extrême-nord du pays, depuis 2014, date à laquelle le Cameroun a commencé à lutter contre la secte.